Éric Antoine revient avec une nouvelle exposition, mois de la photographie oblige. Le titre est évocateur, à son image, une mise en abyme de contradictions, d’actions et de collodion. Après ensemble seul & Black mirror, ce nouveau chapitre va-t-il clore un triptyque ? C’est fort possible.
Un cinquième épisode qui commence avec une veste rouge chinoise et qui finit dans la caserne de Himmler en Allemagne.
Un quatrième épisode, soit Bernard qui a des opportunités, beaucoup d’ego et son intégrité intacte.
Il paraissait évident que Russell Jones allait accéder au statut de légende, ça a été plus rapide que prévu et c’était il y a une dizaine d’années. Ol’ Dirty Bastard a fait couler beaucoup d’encre, et parfois un peu de sang…
Très attendue par la gouvernance mondiale des Internet, la nouvelle mixtape de Vladimir Agueev est enfin disponible sur tous les marchés. Des morceaux d’hier et d’aujourd’hui, mais aussi de demain, ont été compilés, copiés / collés, assemblés et onlinés.
Un troisième épisode, soit le point de vue de Bernard sur la musique et l’évolution du son depuis les années 80.
Un deuxième épisode qui revient sur le projet des rééditions, Jacky Giordano, les compétences de Sylvie Vartan et Serge.
Un premier épisode qui contextualise, saupoudré de Pop corn, un peu de Coluche, les tons et les demi-tons, Take five de Brubeck, pour finir avec du reggae.
MAELSTRÖM • 2025
